Préservons notre passion : Respectons nos rivières

 

- La pollution:

 

La pollution de nos cours d’eau peut se présenter sous différentes formes…

Les principales sont les formes chimiques, bactériologiques, et non biodégradables.

La plupart d’entre elles sont causées de façons indirectes, comme nous avons pu le constater fin Octobre 2010.

 

Mais ce n’est pas tout, l’homme est également responsable d’une manière directe, notamment les personnes amenées à côtoyer directement les rives de nos affluents, comme les promeneurs, les éleveurs et agriculteurs, mais aussi les pêcheurs.

 

C’est pourquoi nous pêcheur, avons le devoir de faire tout ce qui est en œuvre pour préserver notre écosystème et sensibiliser notre entourage à le faire.

Cette action passe par des gestes simples mais efficaces, tout pêcheur se doit de laisser place nette derrière son passage et éviter de jeter tous déchets non biodégradables (cigarettes, emballages plastiques, et fils de pêche), ce qui a pu être emmener sur un site de pêche peut forcément être ramener chez soit. 

Aussi, le respect de la rivière passe également par le respect de l’état des lieux, c’est pourquoi toute personne se doit de ne pas dégrader les berges, les clôtures électriques, les passages et jardins privés, ceci afin de préserver une harmonie de vie au bord des cours d’eau et pour le bien de tous.


-     Préservation des espèces

 

Tout pêcheur a pour rêver de pouvoir ramener à la maison ou prendre en photo une belle truite fario, la truite qui nous fait rêver et dont on se souviendra longtemps…

C’est possible, mais pour cela chacun d’entre nous, pêcheurs avertis et passionnés, doit y contribuer, et faire en sorte que le poisson ait le temps d’atteindre sa taille adulte et plus.

Pour aller dans ce sens, ces dernières années, la maille des captures autorisées est passée de 20 à 23 cm, ce qui est une bonne chose, mais ne suffit pas.

Chacun d’entre nous doit avoir une prise de conscience et venir à la pêche pour le plaisir et non pour remplir le congélateur.

Il faut apprendre à se contenter de quelques spécimens, et pas forcément les plus gros (article intéressant ici) et savoir relâcher les autres lorsqu’on a fait sa pêche. Avoir également sa politique et son bon sens, se dire que sous une certaine taille (même supérieur à la taille minimale) le poisson sera au final aussi bien dans l’eau que dans l’assiette…

Apprendre la philosophie du « No Kill » pratiquée sur un bon nombre de cours d’eau et qui permet de sortir les plus belles Fario jamais enregistrées… 

Une nouvelle façon de regarder et comprendre le poisson, en se faisant plaisir, et qui nous assurera de belles prises dans les années à venir.